Actualité culturelle - Février 2024

La présentation ci-dessous vous informe des manifestations qui ont retenu notre attention pour le mois en cours.
Contactez Pierrette pour tout renseignement complémentaire au 06 08 51 36 27

Pascal Maitre est un photographe de grand talent, mais c’est également un journaliste qui avec rigueur vient nous rapporter des histoires
du bout du monde.

La nouvelle exposition de la Villa Tamaris ouvrira ses portes le 3 février 2024. Elle mettra à l’honneur l’un des plus grands photoreporters, Pascal Maitre. Ce photographe revient sur 40 ans de carrière et partagera avec le public ses plus beaux clichés. On pourra admirer, entre autres, ses magnifiques images sur l’Afghanistan depuis les moudjahidines en guerre contre les Russes jusqu’à aujourd’hui.

On verra ses plus beaux reportages sur l’Afrique, l’écologie à travers le monde, on pourra admirer son reportage sur les Peulhs pour lequel il a reçu le prix de l’Académie des Beaux-Arts. Il nous montrera également les premières images de son nouveau sujet sur le problème du charbon.

Ses photographies sont publiées dans les plus grands magazines du monde entier, il a reçu les prix les plus prestigieux.

Le Liberté vous convie à une pause-déjeuner autour d’une proposition artistique, suivie d’un repas bio et local.

Cécile Messyasz au chant et Jean-Philippe Sempéré forment un duo complice, élégant et joyeux autour d’un répertoire de compositions originales, de standards de jazz et brésiliens pour lesquels ils aiment partager leurs arrangements avec sensibilité, justesse et authenticité.n.

Conférence illustrée par des extraits musicaux.
Précédé par le blues, le negro spiritual et le gospel, le jazz est né au début du XXe siècle dans la communauté noire du sud des États-Unis, en Louisiane.
Les esclaves noirs ont apporté mélodies et rythmes africains, adopté par force la langue anglaise syncopée, eu accès à quelques instruments européens, découvert des mélodies venues d’Europe.
Musique vivante en constante évolution, le jazz est ainsi devenu partie intégrante de la culture américaine. D’autant plus qu’il est à la base de toute la musique populaire contemporaine, du rock’n’roll au rap en passant par le Hip-Hop…

Spectacles organisés par l'Opéra de Toulon au Palais Neptune, en vente à la billetterie du Festival de musique de Toulon.

Au carrefour de l’impressionnisme français et du courant répétitif américain, la musique de Camille Pépin est d’une fraicheur et d’un optimisme rares dans les compositions contemporaines.

Vajrayan fait référence à la religion tibétaine et aux énergies cosmiques symbolisées par les cinq éléments : la terre, l’eau, le feu, le vent et l’espace.

The Sound of Trees puise ses racines dans un texte éponyme de l’américain Robert Frost, poète de l’intimité et de la solitude, chantre inépuisable de la nature. Ce dernier met en scène un promeneur, l’ouïe et l’esprit en alerte, se laissant envouter par le bruissement des arbres…

La Symphonie no 9, dite « La Grande », est sûrement la plus remarquable de son auteur. Elle est toute emplie d’une joie olympienne et représente  l’accomplissement absolu de l’art symphonique du compositeur. Elle fut créée en 1865, soit 37 ans après la mort de Schubert.

« La Boite de Pandore, dans une version originale contemporaine, musique et texte alternés ; il s'agit d'une production de Hervé Deroeux, musicologue et conférencier que nous avons déjà invité au Beausset, deux excellentes musiciennes l'accompagneront sur scène, dans le rôle de ses muses inspiratrices, Julie Degiovanni au Clavecin et Claire Marzullo à la flûte traversière, pas moins de 19 extraits musicaux seront joués avec talent, Hervé Deroeux sera dans le rôle du conteur »

Comment retrouver les mythes antiques fondateurs de notre monde, fondateurs de nos existences humaines ?
C'était dans l'antiquité grecque le sujet favori d'un grand poète que les muses de l'Olympe lui avaient inspiré, il s'agit d'Hésiode et de sa théogonie ..., fini déjà alors le temps de convivialité entre les dieux et les hommes !!

Samedi 17 février 2024 à 20h  / LE PÔLE – Espace Chapiteaux de la mer / La Seyne / Cirque équestre et théâtre
                                                                                          « Avant la nuit d’après »

En tentant de répondre à l'emblématique question d'Hamlet « Être ou ne pas être ? », la Compagnie EquiNote provoque l’enchantement sous le chapiteau. Plongez dans une ambiance de fête foraine fantasmagorique où cohabitent joyeusement cirque, musique, théâtre et chevaux.
Les chevaux détiennent sur nous un étrange pouvoir de fascination. C’est pourquoi ils comblent l’imaginaire de nombreuses mythologies, de légendes, comme autant de passeurs d’histoire.

Les six chevaux (et le chien) du nouveau spectacle de la compagnie EquiNote semblent échappés d’un manège ancien. Sous les lumières poudreuses, leur présence troublante et magnifique nous fait basculer dans un autre monde : ils deviennent sous nos yeux les gardiens d’un équilibre entre ciel et terre, que différents personnages viendront bousculer.

Du rêve à la réalité, ils s’animent en convoquant des figures empruntées au théâtre. Voici qu’Hamlet réveille ses fantômes dans un carrousel forain où prennent vie l’acrobatie, la voltige et le mât chinois, le tout enveloppé dans une musique composée et interprétée en direct.
Un spectacle total où théâtre et cirque équestre s’entremêlent au baroque pour tisser des mondes imaginaires hors du commun.

Invitation à destination des adhérents AVR-Loisir & Culture, SUR INSCRIPTION en utilisant le lien :
https://xoyondo.com/dp/vy39mdbem0hftyp
Tarifs  réduit adulte : 20€  / - 26 ans : 15€
RV sur place à la Billetterie ou covoiturage au départ du Revest - Inscription et règlement* au plus tard le 10 février 2024
*Renseignements : Pierrette 06 08 51 36 27

Les Voix de Gaïa explorent le vaste territoire des chants polyphoniques du monde (Europe de l’Est et de l’Ouest, Balkans, Afrique, Amérique du sud, France...) ponctués de percussions, d’une flûte et d’une vielle à roue.
Un itinéraire riche en couleurs et en découvertes, véritable invitation au voyage et au dépaysement.
La variété des paysages sonores et des rythmes est un hymne à la diversité des cultures et des peuples.

Bertrand Badie est un politiste spécialiste des relations internationales et Professeur émérite de l’IEP de Paris depuis septembre 2018.
Vice-président de l’Association internationale de Science politique (2006-2009), il a également présidé le Conseil Scientifique de l’Institut français du Proche-Orient (Ifpo).
Il a publié une quarantaine d’ouvrages dans le domaine des relations internationales et de la politique comparée.

La rupture amoureuse peut être joyeuse.
Samuel Achache le prouve dans cette pièce musicale totalement déjantée.
Présentée au Festival d’Avignon 2022, elle a fait chavirer le public, entre rires et larmes.

Tout commence par un effondrement : celui d’une maison comme celui d’une musique. Sur scène, l’espace se déconstruit au fur et à mesure des histoires qui s’y déroulent, à l’image des abattements ressentis par les personnages, en accord avec cette musique en apparence parfaite. Ces fins seront pour les protagonistes des tentatives de débuts, des points de départ pour la construction de nouvelles fictions. Créateurs de spectacles musicaux où l’humour se bagarre avec la profondeur, Samuel Achache et ses acteurs-musiciens portent dans SANS TAMBOUR leur exploration plus loin encore.

Les lieder de Robert Schumann, emblématiques du romantisme allemand, donnent l’élan d’une dramaturgie fragmentaire, composée collectivement.

« Samuel Achache ne cesse d’inventer de nouveaux rapports entre théâtre et musique, avec une liberté, une grâce et un humour réjouissants. Réjouissante, pour ne pas dire jouissive, sa dernière création l’est … » Le Monde

Avant-première en présence du réalisateur et de deux danseuses du Ballet Royal du Cambodge.
Le film suit en parallèle la création du spectacle intitulé Métamorphoses et l’histoire du ballet royal cambodgien depuis 1906 lorsque Rodin, fasciné par les danseuses se mit à les dessiner.
Dans cette alternance où le présent vient questionner le passé, où les mouvements et les postures nous transportent dans un univers de splendeur et de mystère, le ballet devient peu à peu, sous nos yeux, le support d’une identité nationale restaurée et magnifiée, en même temps qu’un objet de fascination pour le public étranger.

Projection du film d’animation de Mike Gabriel et Eric Goldberg (États-Unis, 1995). Cette aventure raconte l’histoire d’une jeune femme courageuse, pleine de compassion et d’énergie qui doit écouter son cœur pour choisir sa voie.

Inspiré par l’histoire de la fille du chef Powhatan qui fit en 1607 la rencontre des colons anglais de Jamestown, et notamment de John Smith, le film d’animation des studios Disney interprète l’un des plus grands mythes américains..

Avec le GEISTER DUO : DAVID SALMON & MANUEL VIEILLARD 4 mains & deux pianos / CLAIRE DÉSERT piano /
Partenariat avec l’Institut d’Enseignement Supérieur de la musique d’Aix-en-Provence, l’IESM : Léa Hemeryck et Yentl Yunes

Le guide propose une visite guidée à pied en ville pour aller à la rencontre de personnages dont le destin a croisé celui de Toulon.

Dame Sibille, jeune femme de 800 ans, qui trahit son deuxième mari pour tomber dans les bras de son énième amant et dont l’histoire est gravée sur le mur de la cathédrale.
Raimu, incontournable fil rouge de la promenade, aussi drôle et angoissé dans la vie que dans ses films.
Les bagnards anonymes ou célèbres dont Vidocq.
L’odieux père Girard qui amena à la perversion et à l’exorcisme la jeune Cadière.
Pierre Puget aussi bougon que Raimu.
Claude Farrère qui a si bien décrit l’ambiance de Toulon des « petites alliées ».
Félix Mayol, Clémenceau, Rochemore, Bonaparte et l’amiral de Laborde …

« Le musée Bonnard met en avant ses Collections, pour un beau voyage entre période nabi et moderne »

Les collections du musée Bonnard sont présentées dans un parcours organisé de façon thématique et chronologique qui fait découvrir les sources d’inspiration du peintre et son héritage. Sont exposées pour la première fois, les dernières œuvres entrées dans les collections.

« Puisque tous les peintres entreprennent les mêmes choses, se heurtent aux mêmes difficultés, utilisent les mêmes moyens, c’est que les différences proviennent de l’intérieur. » Pierre Bonnard, 1945

On (re)découvre ainsi les œuvres de jeunesse de Bonnard, celles inspirées à Ma Roulotte, située à Vernon près de Monet. Et bien entendu celles réalisées au Bosquet au Cannet, le paradis de Bonnard, apogée de la lumière et de la couleur. Henri-Cartier Bresson, André Ostier, Kimura, Lesieur, Toulouse-Lautrec, Truphémus, Vuillard …  viennent compléter  cette sélection qui raconte la genèse et l’héritage de Bonnard.

Un parcours-découverte pour pénétrer un peu plus l’intimité de l’artiste   et montrer l’évidente filiation de Pierre Bonnard.

L’Hôtel départemental des expositions du Var offre un prélude aux Jeux olympiques de Paris avec son exposition d’hiver, Défis et sports, de l’Antiquité à la Renaissance. Labellisée Olympiade culturelle Paris 2024, elle entend explorer le rôle du sport dans la société antique et médiévale. « Car le sport est, et a toujours été, un objet extrêmement important et attractif, culturellement parlant », insistent Jean-Paul Thuillier et Sébastien Nadot, les commissaires de l’exposition.

Le propos de l’exposition, consacrée à l’histoire des défis sportifs de l’Antiquité au début de la Renaissance, fait écho à l’organisation des prochains Jeux olympiques qui auront lieu à Paris et en France.
D’un point de vue historique, il était tout à fait naturel de se tourner d’abord vers les Jeux olympiques de l’Antiquité grecque, fondés selon la tradition en 776 avant notre ère et que Pierre de Coubertin a voulu restaurer à partir de 1896.
L’exposition retrace ce thème de façon chronologique en commençant par le monde grec, avec un excursus sur la civilisation étrusque, puis en continuant avec l’Empire romain.
Une présentation des témoignages de défis et de pratiques sportives au Moyen Âge et à la Renaissance conclura la visite.

Un ensemble d’actions culturelles et de médiation se déroulant in situ et hors les murs accompagnent cette exposition. L’accès à la programmation est gratuit sur présentation d’un billet d’entrée à l’exposition.

En route pour une « autre » histoire du monde. Une histoire où l’Europe et l’Occident ne seraient plus au centre du monde, laissant place à d’autres récits. Le Mucem propose de parcourir l’Histoire du monde du XIIIe au XXIe siècle en abandonnant la perspective occidentale. À travers sculptures, peintures, textiles, cartes, objets archéologiques, manuscrits et arts décoratifs, cette exposition révèle l’infinie diversité des expériences africaines, asiatiques, américaines et océaniennes.

Elle donne à voir d’autres mondialisations, dont l’Europe n’est pas le seul moteur. Les œuvres présentées permettent d’appréhender le rapport au temps et à l’espace des sociétés en dehors de l’Europe tout en mettant en lumière leur manière d’écrire l’histoire. Peau de bison lakota, bambou gravé kanak, sarong historié javanais, récit de griot sénégalais témoignent de l’infinie richesse des historiographies vernaculaires.

Les voyages et les explorations des marchands, pèlerins et savants arabes, asiatiques ou africains qui « découvrent » des contrées lointaines et produisent de nouveaux savoirs vont venir bouleverser ces conceptions du monde dites traditionnelles. Les cauris africains comme les cartes de navigation chinoises nous rappellent avec force que la mondialisation fut multipolaire, en Asie centrale, dans l’océan Indien et bien au-delà.

Avec le décloisonnement progressif du globe, les Européens eux-mêmes deviennent les sujets de nombreuses et parfois déroutantes représentations, et le monde un objet de multiples curiosités et d’ambitions encyclopédistes hors d’Occident. Face au récit européocentré produit par les empires coloniaux à partir du XVIIe siècle, les souverains, les élites et les artistes des autres continents ont cherché à se réapproprier leur histoire, parfois en s’inspirant des pratiques occidentales, pour mettre en scène leur pouvoir ou la résistance anticoloniale. De nouveaux romans nationaux leur permettent aujourd’hui de réécrire leur passé en réinventant leur rapport au monde.

L’exposition présente plus de 150 œuvres et objets issus de collections publiques et privées.

Cet artiste prolifique et visionnaire a révolutionné le rapport à l’art de ses contemporains en appliquant son esthétique, si caractéristique, à de multiples domaines comme les affiches, la publicité, la décoration intérieure ou encore le théâtre de la Belle Époque.
A travers près de 120 œuvres cette exposition met en lumière toute la splendeur et l’évolution du style Mucha où mysticisme, symbolisme, identité slave se côtoient.